Histoires Dramatiques, 3ème Chapitre : Alexandre [FIN]

Yoh tout le monde ! Comme on est (Mlle Butterfly et moi) en train d'écrire une histoire se rapportant à celle là, je la poste, juste au cas où certains ne la connaitrait pas encore =3

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Alexandre

Il était une fois, dans une ville d'Haïti, une riche et grande famille d'émigrés français. En cette année 1751, le 14 Aoüt précisément, une de leurs esclaves noires donna naissance à un petit garçon, dont la ressemblance avec un des membres éminants de cette famille était évidente.
Chassé de sa terre d'adoption par les moqueries de ses proches, cet homme emporta avec lui sa maitresse et son fils, qu'il apella Alexandre, et s'installa à Grasses dans une vaste demeure.
Mais à cette époque, les préjugés étaient à leur comble, et on ne lui fit pas un très bon acceuil dans sa nouvelle cité.
Sa vie devint vite un enfer, et étant connu pour avoir un caractère instable, il assassina sa maitresse durant son sommeil en l'étouffant. Il se remaria très vite, et ne dit jamais rien au sujet de la vraie mère d'Alexandre.

L'enfant grandit vite, comme tout les enfants, mais il lui arrivait parfois, en paradoxe avec son air si las, de faire preuve d'une colère spectaculaire, et de blesser son entourage. Dans la ville, tout le monde le craignait et l'évitait, pour son caractère et son teint métisse.
L'année de ses dix ans, le petit Alexandre s'empara d'un couteau et blessa sa belle-mère au poignet. S'en était trop pour cette femme qui supportait depuis bien longtemps un enfant qui n'était même pas le sien. Le soir de ce fameux jour, elle décida de s'en plaindre à son mari, qui l'écouta patiemment. Hélas, Alexandre se trouvait dans la pièce voisine, et entendit toute son histoire, déclanchant en lui la plus vive colère. Saisissant le pied d'une chaise et l'arrachant de son support, il se présenta devant ses parents.

La gène de son père fut à son comble, et il tenta d'expliquer à son fils des faits on ne peut plus clairs, ne faisant qu'accroitre sa colère. L'esprit d'Alexandre se perdit dans les méandres de la haine, et il asséna à son père un violent coup à la tête, le projetant à terre. Il ne se releva jamais. Sa belle- mère poussa un hurlement et se précipita hors de la pièce.
Alexandre se réveilla, sa colère s'envola. Il vit ce qu'il avait fait, et pour la première fois de sa vie son flegme laissa place à la honte et il s'enfuit.
Commença ainsi une longue errance sur les routes de Méditérranée, seul. Il ne possedait plus rien, hormis son corps et son esprit. Longtemps, il réfléchit à son sort, et il en parvint à la conclusion que la vie n'avait aucune valeur, et il se mit à la haïr. Alexandre devint presque une coquille vide, seulement capable de marcher le jour et dormir la nuit, plongé dans d'effroyables cauchemars où il revoyait son père, et pleurait à son reveil.

Son voyage le porta jusqu'a la frontière de l'Italie, où il rencontra des pirates qui, subjugués par sa beauté mélancolique, le capturèrent. Alexandre, alors agé de 14 ans, se laissa faire. Ils jouèrent avec lui pendant un certain temps, puis se lassèrent, comme d'un jouet cassé, et, esperant en tirer un bon prix, l'envoyèrent à un vendeur d'esclaves, qui le mit sur le marché.
Les enchères montaient, mais Alexandre, le regard vide, n'y pretait aucune attention. La mort et la vie. Que signifiaient-elle ? Rien, mais elles se completaient. La vie n'était rien sans la mort. Lui qui haïssait la vie ne pouvait donc tolerer et accepter l'autre. Il voulait mettrz fin au cycle continu de l'existance, tel Cronos dévorant ses enfants. Elle devait lui appartenir. Et il voulait l'user. Eternellement.
Ses yeux brillaient d'une lumière nouvelle tandis que son prix, exorbitant, était annoncé. Comme par enchantement, ses chaines se brisèrent, comme si le temps lui obeissait, il fit couler le sang de ceux qui vendent leurs semblables, et de ceux qui les achètent, sans qu'ils s'en rendent compte.

Maintenant, au milieu du silence, les mains écarlates, il lève la tête vers un carosse d'où sort une jeune fille disant être sa cousine. Et lui offre une existance eternelle. Elle l'apelle Sacha, et nous sommes en 1766.

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Je ne suis pas super fière de cette histoire dans laquelle je compte nombre d'imperfections que j'ai trop la flemme de corriger, mais bon ^^"

Ne t'inquiète pas, il n'y a aucune imperfection c'est simplement P.A.R.F.A.I.T !!
J'ai hâte de lire la suite !

Et j'aime beaucoup la dernière phrase qui laisse un énorme suspence !!

Hmmmm, la suiiiite!!
(C'est le père de Rose et June?)

Il voulait mettrz fin au cycle continu de l'existence, tel Cronos dévorant ses enfants.

Oui, sauf qu'ils ne sont pas morts, et que Zeus va arriver ouvrir son père et sauver ses frères et soeurs.~

Koizu : Mercii *^_^* Il n'y aura pas de suite, je te le dis tout de suite !! Mais je vais faire un receuil d'histoire qui se dérouleront à l'époque où il se trouvait chez les pirates (qui sera dans la partie pour plus de 15 ans...)

Kvet : XDDDDDDD j'ai trop rit quand j'ai lu ça !! Nan, le père de Rose et June s'apelle Fitzwilliam, et Alexandre de cette histoire n'est autre que mon taeyang qui s'apelle Sacha xD
Hups, tu as raison à propos de Chronos ^^" Mais je pense que si j'ai choisit cette histoire c'est pour le principe (ou alors je me souvenais plus que Zeus les sauvaient, ça doit être ça) de mettre fin au cycle naturel de la vie.

La suite, la suite~*-*

Il n'y en aura pas ^^" l'histoire se termine là, enfin presque, parce que la suite n'est pas à moi, elle est à Mlle Butterfly, la cousine d'Alexandre/Sacha c'est Madjulda, et quand Butty aura mis la suite de son histoire sur PL vous saurez ce qu'est devenu Alexandre/Sacha... Mais comme je l'ais dit je vais développer la partie chez les pirates =DDD