Du rapport au poids
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Du rapport au poids
Voici un texte plus sobre que ce que je fais d'habitude, je pense. Là c'est sûr il est en deux parties, la première que voici je l'ai intitulée : La prise de conscience, le changement.
Dans ce monde il existe de nombreux sujets, dit « sujets polémiques ». L’un d’eux, fille oblige, concerne le poids. Laquelle d’entre nous n’a jamais rêvé de quelques kilos de moins (ou de plus, pour certaines). Ce texte va parler de mon rapport au poids, c’est-à-dire que je vais m’adresser aux filles minces et rondes.
Quand on est vraiment tout petit, on a pas vraiment conscience de l’image que l’on peut donner aux autres. Passez près d’une maternelle et vous verrez nombre d’enfants complètement échevelés, tachés, hurlant à pleins poumons sans se préoccuper de ce que pensent les autres. C’est véritablement lorsqu’on devient un peu plus âgé que l’on comprend que la personne que nous voyons dans la glace, c’est nous. A partir de là nous prenons conscience du regard des autres et nous nous mettons à juger chacun vis-à-vis de nous.
J’étais une enfant potelée. Pas grosse, pas obèse : potelée. Non je ne pouvais pas m’habiller avec les vêtements de mes camarades, ils auraient été beaucoup trop serrés pour moi, mais qu’importe, je m’en fichais, personne ne s’était jamais moqué de moi pour cela, alors… Je connaissais une gamine de mon âge et, alors que nous jouions par un après-midi, elle me fit la première remarque de toute ma vie sur mon poids, il me semble. Elle faisait du hula hoop. Elle pouvait faire tenir le cerceau pendant un bon moment. Je me rappelle lui avoir dit que moi je n’y arrivais pas, ce à quoi elle me répondit, toujours concentrée sur les mouvements du cercle : « Ah ça c’est normal, ma maman m’a dit qu’il n’y avait que les filles minces qui pouvaient faire ça ».
Suite à cette phrase je n’ai rien dit, j’ai fait comme si de rien était. Mais j’étais devenu sourde, c’est comme si j’étais à l’intérieur de ma tête et que je voyais ma vie passée en cinéma muet. Après cet épisode je me suis mise à regarder autours de moi : la télé, les magazines, les gens dans la rue, les camarades. Je me rendais bien compte que je n’étais pas mince. A ce stade beaucoup d’entre vous on dût remarquer le « j’étais une enfant potelée ». Oui, vous avez bien compris que maintenant je ne le suis plus. Je suis mince, très mince mais pas maigre.
Non, je ne suis pas tombée en dépression après ce qu’elle m’avait dit. On aurait pu le croire, mais non. J’ai continué à avoir un bon coup de fourchette, comme avant. Les années ont passées, j’étais toujours enrobée, la seule différence c’est que j’avais désormais conscience que je ne serais jamais comme les enfants dans les catalogue, jamais à leur place. C’est petit à petit, en grandissant, que je me suis affinée naturellement. Je ne suis pas devenue anorexique, j’ai toujours eu une faim de loup et je l’ai toujours comblée correctement.
Dans ce monde il existe de nombreux sujets, dit « sujets polémiques ». L’un d’eux, fille oblige, concerne le poids. Laquelle d’entre nous n’a jamais rêvé de quelques kilos de moins (ou de plus, pour certaines). Ce texte va parler de mon rapport au poids, c’est-à-dire que je vais m’adresser aux filles minces et rondes.
Quand on est vraiment tout petit, on a pas vraiment conscience de l’image que l’on peut donner aux autres. Passez près d’une maternelle et vous verrez nombre d’enfants complètement échevelés, tachés, hurlant à pleins poumons sans se préoccuper de ce que pensent les autres. C’est véritablement lorsqu’on devient un peu plus âgé que l’on comprend que la personne que nous voyons dans la glace, c’est nous. A partir de là nous prenons conscience du regard des autres et nous nous mettons à juger chacun vis-à-vis de nous.
J’étais une enfant potelée. Pas grosse, pas obèse : potelée. Non je ne pouvais pas m’habiller avec les vêtements de mes camarades, ils auraient été beaucoup trop serrés pour moi, mais qu’importe, je m’en fichais, personne ne s’était jamais moqué de moi pour cela, alors… Je connaissais une gamine de mon âge et, alors que nous jouions par un après-midi, elle me fit la première remarque de toute ma vie sur mon poids, il me semble. Elle faisait du hula hoop. Elle pouvait faire tenir le cerceau pendant un bon moment. Je me rappelle lui avoir dit que moi je n’y arrivais pas, ce à quoi elle me répondit, toujours concentrée sur les mouvements du cercle : « Ah ça c’est normal, ma maman m’a dit qu’il n’y avait que les filles minces qui pouvaient faire ça ».
Suite à cette phrase je n’ai rien dit, j’ai fait comme si de rien était. Mais j’étais devenu sourde, c’est comme si j’étais à l’intérieur de ma tête et que je voyais ma vie passée en cinéma muet. Après cet épisode je me suis mise à regarder autours de moi : la télé, les magazines, les gens dans la rue, les camarades. Je me rendais bien compte que je n’étais pas mince. A ce stade beaucoup d’entre vous on dût remarquer le « j’étais une enfant potelée ». Oui, vous avez bien compris que maintenant je ne le suis plus. Je suis mince, très mince mais pas maigre.
Non, je ne suis pas tombée en dépression après ce qu’elle m’avait dit. On aurait pu le croire, mais non. J’ai continué à avoir un bon coup de fourchette, comme avant. Les années ont passées, j’étais toujours enrobée, la seule différence c’est que j’avais désormais conscience que je ne serais jamais comme les enfants dans les catalogue, jamais à leur place. C’est petit à petit, en grandissant, que je me suis affinée naturellement. Je ne suis pas devenue anorexique, j’ai toujours eu une faim de loup et je l’ai toujours comblée correctement.
Re: Du rapport au poids
Et bien encore une fois, je me suis vue dans ton texte ._.
Même si pour ma part je suis encore potelée.. On m'a souvent fait des remarques sur mon poids, des gentilles et des moins gentilles, j'ai toujours été vexée au point de me détester totalement, mais au final, tant que moi-même je vois au delà des apparences, qu'est-ce que ça peut me faire d'être insultée sur ça ?...
J'aime beaucoup ton texte, je veux la seconde partie ! :)
Même si pour ma part je suis encore potelée.. On m'a souvent fait des remarques sur mon poids, des gentilles et des moins gentilles, j'ai toujours été vexée au point de me détester totalement, mais au final, tant que moi-même je vois au delà des apparences, qu'est-ce que ça peut me faire d'être insultée sur ça ?...
J'aime beaucoup ton texte, je veux la seconde partie ! :)
Honey & Sugar- Encre Indélébile
- Messages : 661
Date d'inscription : 17/08/2009
Age : 26
Localisation : Corse
Re: Du rapport au poids
La deuxième partie est prête à 50 %, je vais essayer de la finir ce week end.
(Ca me fait plaisir que tu me dises que tu t'y retrouves un peu, ça veut dire que j'ai un peu réussi à bien exprimer mes sentiments).
(Ca me fait plaisir que tu me dises que tu t'y retrouves un peu, ça veut dire que j'ai un peu réussi à bien exprimer mes sentiments).
Re: Du rapport au poids
La seconde partie, intitulée : Le reniement, l'acceptation, la conclusion, l'espoir.
En espérant que ce texte vous aura plu =)
Avec le temps je suis une jeune femme, on pourrait dire. Je lis régulièrement les magazines de mode, je me documente sur les Fashion Week ect… Je suis tolérante, je méprise les filles minces qui insultent les filles rondes. Enfin c’est que je croyais… Un beau jour, alors que faisais les boutiques, j’ai entendu deux filles rondes se parler et l’une dire à l’autre : « Tiens, mets ce t-shirt, ça fera superbe sur toi ! ». Jetant un coup d’œil au vêtement, je ne pus m’empêcher de me dire : « Ah, non ! Désolée ma grande mais ça ne fera jamais aussi bien que sur une fille plus maigre ! ». C’est alors que je réalisais, je réalisais que j’étais devenue quelqu’un d’horrible et qu’en méprisant ceux qui considéraient mal les filles rondes, je me méprisais également.
Suite à ça j’ai beaucoup réfléchi. Je me suis d’abord souvenue que ce n’était pas la première fois que je pensais ça. Ensuite je me suis souvenue de ce souvenir que je vous ai raconté plus haut. Alors j’ai eu honte, parce que je savais qu’on n’était pas toujours mince de naissance. Après toutes ces années, je venais de me rendre compte que j’avais oublié ce que j’étais à la base, un peu comme si je m’étais reniée. Dès lors j’ai arrêté de penser de telles choses, et j’ai enfin pu véritablement mépriser les intolérants.
Maintenant je m’adresse aussi aux filles bien en chair, potelée, rondes, grosses ou obèses. Arrêtez de vous faire victimes. Oui, de vous faire victimes. Certaines d’entre vous vivent très mal leur poids, tombent dans la dépression, dans l’anorexie mais la plupart du temps ces maladies sont aussi dût à une situations familiale difficiles : vous je ne vous blâmes pas. Je blâmes celles qui ont tout pour elles sauf quelques kilos en trop et qui se rabaissent. Non, vous n’êtes pas moches. Non, vous ne devez pas maigrir sauf si vous avez des problèmes de santé. Non, on a pas besoin d’être maigre pour vivre heureux (en témoignent toutes les années que j’ai vécu plus haut). Vous vous donnez parfois une mauvaises image vous-même : je parle de toutes ces filles à la télévision, dans les journaux qui parlent ainsi : « Les rondes ce n’est pas moche ». Vous n’avez pas l’impression qu’il manque quelque chose dans leur discours ? Non ? Je vais vous donner la réponse, leur discours devrait être : « Les FILLES rondes ce n’est pas moche ». Vous saisissez la nuance ? Si vous oubliez vous-même de vous définir comme du genre humain, qui le fera ? Moi ? Non : personne.
Bref, ne vous laissez pas faire. Si on vous insulte, faite face à votre agresseur, regardez le (il vous regardera alors en souriant, en riant) et vous le regarderez de haut en bas, vous relèverez la tête, vous le fixerez dans les yeux et vous sourirez. Puis partez, et ne vous retournez pas, quoi qu’il advienne, ne vous retournez pas : ces gens là ne méritent pas qu’on s’arrête sur eux, ils ne le méritent pas.
En espérant que ce texte vous aura plu =)
Avec le temps je suis une jeune femme, on pourrait dire. Je lis régulièrement les magazines de mode, je me documente sur les Fashion Week ect… Je suis tolérante, je méprise les filles minces qui insultent les filles rondes. Enfin c’est que je croyais… Un beau jour, alors que faisais les boutiques, j’ai entendu deux filles rondes se parler et l’une dire à l’autre : « Tiens, mets ce t-shirt, ça fera superbe sur toi ! ». Jetant un coup d’œil au vêtement, je ne pus m’empêcher de me dire : « Ah, non ! Désolée ma grande mais ça ne fera jamais aussi bien que sur une fille plus maigre ! ». C’est alors que je réalisais, je réalisais que j’étais devenue quelqu’un d’horrible et qu’en méprisant ceux qui considéraient mal les filles rondes, je me méprisais également.
Suite à ça j’ai beaucoup réfléchi. Je me suis d’abord souvenue que ce n’était pas la première fois que je pensais ça. Ensuite je me suis souvenue de ce souvenir que je vous ai raconté plus haut. Alors j’ai eu honte, parce que je savais qu’on n’était pas toujours mince de naissance. Après toutes ces années, je venais de me rendre compte que j’avais oublié ce que j’étais à la base, un peu comme si je m’étais reniée. Dès lors j’ai arrêté de penser de telles choses, et j’ai enfin pu véritablement mépriser les intolérants.
Maintenant je m’adresse aussi aux filles bien en chair, potelée, rondes, grosses ou obèses. Arrêtez de vous faire victimes. Oui, de vous faire victimes. Certaines d’entre vous vivent très mal leur poids, tombent dans la dépression, dans l’anorexie mais la plupart du temps ces maladies sont aussi dût à une situations familiale difficiles : vous je ne vous blâmes pas. Je blâmes celles qui ont tout pour elles sauf quelques kilos en trop et qui se rabaissent. Non, vous n’êtes pas moches. Non, vous ne devez pas maigrir sauf si vous avez des problèmes de santé. Non, on a pas besoin d’être maigre pour vivre heureux (en témoignent toutes les années que j’ai vécu plus haut). Vous vous donnez parfois une mauvaises image vous-même : je parle de toutes ces filles à la télévision, dans les journaux qui parlent ainsi : « Les rondes ce n’est pas moche ». Vous n’avez pas l’impression qu’il manque quelque chose dans leur discours ? Non ? Je vais vous donner la réponse, leur discours devrait être : « Les FILLES rondes ce n’est pas moche ». Vous saisissez la nuance ? Si vous oubliez vous-même de vous définir comme du genre humain, qui le fera ? Moi ? Non : personne.
Bref, ne vous laissez pas faire. Si on vous insulte, faite face à votre agresseur, regardez le (il vous regardera alors en souriant, en riant) et vous le regarderez de haut en bas, vous relèverez la tête, vous le fixerez dans les yeux et vous sourirez. Puis partez, et ne vous retournez pas, quoi qu’il advienne, ne vous retournez pas : ces gens là ne méritent pas qu’on s’arrête sur eux, ils ne le méritent pas.
Dernière édition par LadyRose le Sam 20 Nov - 21:36, édité 1 fois
Re: Du rapport au poids
Je sais vraiment pas quoi dire car tout ce que tu dis est vrai, donc je vais juste dire ça : c'est vrai. *une phrase en français sisi tkt*
Je pense que ton dernier paragraphe est le meilleur, car c'est vraiment un conseil génial !
Je pense que ton dernier paragraphe est le meilleur, car c'est vraiment un conseil génial !
Honey & Sugar- Encre Indélébile
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Localisation : Corse
Re: Du rapport au poids
Eh bien merci beaucoup, encore, ça me fait très plaisir, surtout sur ce genre de texte assez personnel.
Si j'écris sur ces sujets c'est parcequ'ils me touchent, pas parcequ'ils sont "à la mode".
Le dernier paragraphe je l'ai écris comme ça, non pas parcequ'il fait bien, mais parce que le conseil donné fonctionne plutôt bien et parcequ'au final ça définit ma pensée, en quelque sorte.
Ceci dit il y a encore pas mal de maladresses quand je me relis (répétitions, entre autres), et je trouve ma deuxième partie beaucoup trop confuse à mon goût (dis moi si tu n'as pas tout compris parce que c'est vraiment brouillon -_-')
Si j'écris sur ces sujets c'est parcequ'ils me touchent, pas parcequ'ils sont "à la mode".
Le dernier paragraphe je l'ai écris comme ça, non pas parcequ'il fait bien, mais parce que le conseil donné fonctionne plutôt bien et parcequ'au final ça définit ma pensée, en quelque sorte.
Ceci dit il y a encore pas mal de maladresses quand je me relis (répétitions, entre autres), et je trouve ma deuxième partie beaucoup trop confuse à mon goût (dis moi si tu n'as pas tout compris parce que c'est vraiment brouillon -_-')
Re: Du rapport au poids
Ne t'inquiète pas, j'ai tout compris. :) Tu me donnes envie d'écrire une histoire parlant de ça, maintenant °_°
Honey & Sugar- Encre Indélébile
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Re: Du rapport au poids
Eh bien je suis contente si j'ai pu t'inspirer quelque chose ! Hâte de voir ta production
Re: Du rapport au poids
Tu m'as beaucoup inspirée même *_* C'est posté :p *allez je vais pas faire ma pub ici quand même !*
Honey & Sugar- Encre Indélébile
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Age : 26
Localisation : Corse
Re: Du rapport au poids
Voilà un texte très intéressant. J'aime ta vision de voir la chose (je fais partie des rondes) et de la décrire ainsi que ton conseil de la fin.
La façon dont tu as écris me fait penser à un article dans un magazine féminin, engagée mais pas trop histoire de ne blesser personne. Dommage que la fin soit un peu brouillonne par rapport au début par contre. Mais cela n'enlève pas le charme de ton écrits.
La façon dont tu as écris me fait penser à un article dans un magazine féminin, engagée mais pas trop histoire de ne blesser personne. Dommage que la fin soit un peu brouillonne par rapport au début par contre. Mais cela n'enlève pas le charme de ton écrits.
Re: Du rapport au poids
Merci encore (hum, hum tu rôdes sur le forum ma parole ! )
Oui, la fin trop brouillonne... Un regret mais bon... A remanier là aussi !
Sinon pour l'article de presse je ni avais pas pensé... Personnellement je ne trouve pas, mais je pense que c'est parce que je visualise assez bien comment j'aurai écrire le texte si je l'avais fait sous forme d'article.
Oui, la fin trop brouillonne... Un regret mais bon... A remanier là aussi !
Sinon pour l'article de presse je ni avais pas pensé... Personnellement je ne trouve pas, mais je pense que c'est parce que je visualise assez bien comment j'aurai écrire le texte si je l'avais fait sous forme d'article.
Re: Du rapport au poids
je me connecte pas souvent, alors du coup, je lis un peu tout ce qui a été fait entre mes connexions, c'est pour ça que je rode.
Pour l'article, c'est un ressenti de ma part. Il faut dire que j'ai lu il n'y a pas longtemps un vieux glamour où une des journalistes a tendance à écrire ses articles un peu comme ça, entre la réflexion et sa propre expérience.
Pour les fins bouclées, tu verras, c'est aussi ma spécialité. D'ailleurs, je ne finis jamais vraiment une histoire à cause de ça. Je trouve personnellement que c'est la chose la plus compliquée à écrire.
Pour l'article, c'est un ressenti de ma part. Il faut dire que j'ai lu il n'y a pas longtemps un vieux glamour où une des journalistes a tendance à écrire ses articles un peu comme ça, entre la réflexion et sa propre expérience.
Pour les fins bouclées, tu verras, c'est aussi ma spécialité. D'ailleurs, je ne finis jamais vraiment une histoire à cause de ça. Je trouve personnellement que c'est la chose la plus compliquée à écrire.
Re: Du rapport au poids
Oh oui, les fins bouclées !
Hier j'ai fini mon histoire qui n'a pas de nom (mais maintenant je lui en ai trouvé un donc je vais editer), et j'avoue que j'ai eu du mal pour la fin. C'est très compliqué, il ne faut pas laisser le lecteur sur sa faim mais en dire juste assez pour faire une jolie chute. Mais c'est aussi pour ce genre de difficulté que j'adore écrire des histoires, personnellement !
Hier j'ai fini mon histoire qui n'a pas de nom (mais maintenant je lui en ai trouvé un donc je vais editer), et j'avoue que j'ai eu du mal pour la fin. C'est très compliqué, il ne faut pas laisser le lecteur sur sa faim mais en dire juste assez pour faire une jolie chute. Mais c'est aussi pour ce genre de difficulté que j'adore écrire des histoires, personnellement !
Re: Du rapport au poids
Comme je te comprends !
C'est là tout le plaisir de l'écriture, en plus de voir une histoire prendre vie sous sa plume ( et accessoirement trouver un nom parce que les fichiers sansnom pullulent sur mon disque dur)
C'est là tout le plaisir de l'écriture, en plus de voir une histoire prendre vie sous sa plume ( et accessoirement trouver un nom parce que les fichiers sansnom pullulent sur mon disque dur)
Re: Du rapport au poids
Oui, ça fait du bien de voir quelque chose que l'on fait soi-même prendre forme. Je trouve que les personnes qui écrivent on un peu leur imagination en "autonomie", elles n'ont pas forcèment besoin d'avoir lu d'autres livres sur leur sujet pour faire une histoire.
Héhé j'ai le même problème pour les titres, y a qu'à voir mon histoire qui s'appelle (je te le donne en mille) : "Je n'ai pas trouvé de titre...". Ah ça fait beau sur le forum ! Mais bon, là j'ai réussi à me dégoter quelque chose de potable, alors je vais le changer xD
Héhé j'ai le même problème pour les titres, y a qu'à voir mon histoire qui s'appelle (je te le donne en mille) : "Je n'ai pas trouvé de titre...". Ah ça fait beau sur le forum ! Mais bon, là j'ai réussi à me dégoter quelque chose de potable, alors je vais le changer xD
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